Pas un affleurement de pierre sur le côté de la colline, mais une épaule. Le corps est à moitié enterré. «Monsieur, nous avons trouvé une femme !» Crient les opérateurs. Le jeune français Charles Champoiseau sourit. Les agriculteurs ont été bien informés: la petite île grecque de Samothrace est pleine de trésors…

Aujourd’hui, on va faire une promenade dans le Musée du Louvre. Avec la «Mona Lisa» et «Vénus de Milo», la Victoire de Samothrace elle se présente comme une grande star qui règne le musée…

Elle est une sculpture appartenant à l’école Rhodes, de la pérdiode hellénistique. Elle représente Nike, la déesse de la victoire. Apparemment, les experts dans l’art grec et l’architecture sont convaincus que ceci est la victoire de Samothrace que Rhodia dédié à la déesse pour célébrer sa victoire sur Antiochus III, roi de Syrie. Elle a une hauteur de 245 cm et est constitué de marbre fait le 190 a. C.

Vous pouvez passer des heures et des heures à regarder la figure féminine de la Victoire ailée, comme on l’appelle également, avec des ailes perché sur la proue d’un navire. L’emplacement, l’escalier Dure qui est l’une des escaliers les plus omposantes du Musée du Louvre, contribue également à créer une atmosphère magique et unique.

L’admiration, le respect, le défi, la paix, le courage… sont des sentiments qui surgissent lorsque nous contemplons cette magnifique sculpture.

De nombreux fragments de sculpture, trop gâtés, jamais ont été intégrés dans la statue. Toutfois, la statue a une harmonie fantastique qui nous fait penser et nous détendre sur notre admiration.

Ce travail prend une importance telle que, aujourd’hui, nous avons des artistes qui ont intégré cette allusion dans certaines de ses œuvres, comme dans le cas de l’artiste français Yves Klein ou Henry Moore qui ont capturé l’essence et l’esprit de la victoire ailée.